Médiation animale aviaire : la happy thérapie

Premier ou dernier lien, l’animal tient une place primordiale pour l’homme. Chaîne de sureté et d’ancrage qui nous retient au monde, à sa réalité et à nos rêves. Là pour réduire la distance, dissiper le flottement ou remplir le vide, entre soi et les autres. Entre soi et… soi.

A l’instar des ânes (asinothérapie), des chats (ronronthérapie) ou même des abeilles (apithérapie), les bonnes ondes émises par nos nouvelles compagnes sont désormais (re)connues, en ce qu’elles nous procurent, du 1er au 4e âge, bien des petits bonheurs ; rééquilibrages réparateurs et compensateurs.

En effet, si les poulaillers font de plus en plus florès à l’intérieur :

  • des maisons de retraite,
  • des unités d’accueil de malades d’Alzheimer ou d’enfants autistes,
  • des centres spécialisés pour personnes handicapées,
  • des prisons…

C’est qu’ils sont, pour les résidents et les patients, sources de :

  • bien-être,
  • réconfort,
  • confiance retrouvée…

Une thérapie animale douce

Un retour dans l’œuf protecteur et un bain dans ces petites scènes familières tant aimées, dans ces liens parents-enfants ; frères ou sœurs. Une régénération dans tous les sens du terme donc, d’une mémoire (des sens) oubliée.

Assistance précieuse et efficace pour les équipes médicales spécialisées qui reconnaissent leur influence bénéfique sur de nombreuses pathologies. En effet, ces doux animaux de compagnie à plumes sont sources de vie à plusieurs niveaux :

  • comportemental,
  • cognitif,
  • affectif,
  • sensoriel (sensuel),
  • langagier (verbal, non verbal),
  • (psycho-)moteur.

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